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Des petites mains, et un sourire

23 juin 2008

Pour les perdus du bout d'ici :

Pour les perdus du bout d'ici : http://chronostique.canalblog.com
Je suis partie là bas.

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10 novembre 2007

Pour ceux qui se perdent encore par ici. Je suis

Pour ceux qui se perdent encore par ici. Je suis là bas : http://cataclysmable.canalblog.com.

9 juillet 2007

J'arrête tout. Ici et ailleurs. J'ai eu besoin de

J'arrête tout. Ici et ailleurs. J'ai eu besoin de ce début de vacances pour me rendre compte de ma connerie. Pour me rendre compte que ce blog ne sert à rien, puisqu'il n'est qu'une sélection de souvenirs, destinés à ne blesser ni Elle, ni l'amoureuse, ni d'autre personne que je n'citerais pas. Le reste passe au travers, alors que c'est sans doute le plus important.

Alors oui, j'ai eu besoin de ces blogs, un besoin fou même. Pour me construire et m'aider à avancer. Surtout l'année dernière, quand ils étaient la base de ma relation avec Elle. Mais maintenant que c'est fini j'avance dans le vide. J'suis entrain d'me dire qu'il serait peut être temps de tourner la page. Au lieu de me faire du mal toute seule à courir après quelque chose qui ne reviendra jamais. Si je cours encore, c'est juste pour me sentir vivre. Parce que ouais, j'ai même plus honte de le dire, je fais partie de ces personnes qui décident du jour au lendemain de dire à quelqu'un qu'on apprécie, que tout c'qu'on a vécu avec c'était que du blabla, tout ça pour se sentir vivre un peu plus, pour se dire que si on a mal c'est qu'on est entrain de vivre, et puis finalement on revient sur nos décisions, on s'excuse et on repart. Mais dans l'fond c'qu'on attend et c'qu'on attendra toujours, c'est de se prendre une grosse claque dans la gueule, un truc que pour une fois on maîtrisera pas. Alors souvent on se retient, pour pas blesser ceux qu'on a en face de nous. Et d'autre fois on en peut plus d'être des fantômes.

Mais c'que j'viens de dire ça n'a rien à voir avec mon histoire avec Elle. Juste une suite d'idée. Parce qu'avec Elle, c'est bien plus compliqué que ça. Parce qu'avec Elle j'ai jamais rien maîtriser. C'est toujours Elle qu'a eu les reines, et je sais même pas si Elle s'en est déjà rendu compte. J'suis qu'un pantin. Un jouet. Réagis, s'il te plaît.

Et maintenant je suis avec l'amoureuse. Je fais attention à c'que j'écris ici pour ne pas la blesser Elle. Alors c'est con, et je tourne en rond autour d'un truc invisible, qui n'existe que dans ma tête, parce qu'Elle en a plus rien à foutre de moi. L'amoureuse c'est une histoire un peu bizarre. Un peu comme si j'étais amoureuse de ma petite soeur. Parce que quand j'la regarde je fonds complètement devant ces yeux noirs qui brillent. Et elle a cette capacité à me toucher, quand je sens dans sa voix le manque de sa mère et sa soeur, qu'elle n'a pas vu depuis seulement 2 semaines.

Tout ça juste pour vous dire que je m'en vais, et que maintenant je vais faire comme ceux qui. Je vais écrire sur du vrai papier, avec un vrai crayon. Et seulement pour moi.

24 juin 2007

Je déménage, encore. Et je recommence à enlever

Je déménage, encore. Et je recommence à enlever les commentaires. Les mails seront les bienvenus, comme d'habitude. Parce que moi j'adore ça. En espérant vous retrouvez de l'autre coté.

http://griffure.canalblog.com

15 juin 2007

Un coup oui, un coup nan. C'est mon moral qui

Un coup oui, un coup nan. C'est mon moral qui tangue et mon coeur qui chavire. J'ai l'impression que ça ne s'arrêtera jamais. J'ai appris à être forte mais il y a toujours deux choses qui me mettent dans des états pas possible. Le première est extrêmement ridicule, mais toutes les personnes qui me connaissent le savent très bien : les photos. Dès que l'objectif se braque sur moi, je fous des claques, me roule dans l'herbe, et sors de cris à tuer les tympans. La deuxième est plus complexe et me bouffe. Ça grignote à l'intérieur et j'en ressors toujours affaiblie. Je crois que je n'oserais même pas en parler ici. Parce que je me fais du mal toute seule, à faire des choses qui me sont interdite. Je me fais avoir à mon propre jeu, comme on dit. Mais à chaque fois que je joue, je sais c'qu'il va se passer, je sais que j'vais avoir mal, et tomber de haut. Pourtant je continue quand même, parce que c'est bien plus fort que moi. Ma possessivité me tuera, comme toujours.

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14 juin 2007

Dernier jour de cours. Je crois que jusqu'à 11h,

Dernier jour de cours. Je crois que jusqu'à 11h, je me suis purement ennuyée. Jusqu'à c'qu'on se décide à partir chez Florian, pour faire un gâteau, avec Nuelle et Marion T. Dans la tram, on croise notre Papi Bonheur. Tout de suite il nous reconnaît, tout de suite on discute. Une journée de travail, une journée de repos, mais surtout, pas trop de travail ! Là je vais rentrer chez moi, et manger des crevettes grillées, je mange que des fruits d'mer. Et sa chanson, inventée sur le coup, tellement naz et pourtant. J'oublierais pas sa casquette Laissez les mains tranquilles. Souriez, c'est l'amour.

On arrive chez Florian. On commence à s'installer. Nuelle prépare le gâteau, moi je m'occupe des pâtes. Tout s'passe bien jusqu'à c'que je demande à Florian où sont rangés le beurre et le fromage râpé. Il se trouve que chez lui ça se range dans le congélateur. Je crois que j'avais jamais vu ça avant. Y a pas de chocolat pour le gâteau, alors on va en demander au voisin. Je met les pâtes dans l'eau. Oh mais y avait des coquillettes, ça aurait été tellement mieux !

Retour au lycée. Cours de Français, le dernier des derniers. Avec cette prof qui nous a tellement apporté. L'émotion sur son visage quand. Et la surprise, aussi. On a parlé pendant une heure. Parce qu'elle a tout fait pour nous, parce qu'elle nous a tout appris, qu'elle nous a toujours écouté, qu'elle a un humour à mourir de rire, qu'elle est la plus douée pour se mettre du marqueur partout sur le visage et surtout, pour se moquer d'elle même. Parce que mine de rien elle va terriblement me manquer.
En sortant, Nuelle a fondu en larmes. Et je crois que j'étais à deux doigts de me retrouver dans le même état qu'elle, mais nan.

[Et aussi je suis tombée dans les escaliers en allant rendre mes livres. J'ai une entorse, je crois.]

10 juin 2007

J'avais décidé d'arrêter d'être forte, juste une

J'avais décidé d'arrêter d'être forte, juste une fois, pour voir. De me laisser aller, de fondre en larmes à la moindre occasion. Juste pour une soirée. Je dis ça mais dans l'fond c'était pas vraiment voulu. Longtemps que je n'avais pas autant souffert, écrasée par l'ampleur de mes sentiments. Je regrette. Sans mentir. Je regrette toute cette soirée dans les moindres recoins, et j'ai beau chercher, je n'trouve rien. Pas même le tout petit truc qui pourrait me faire sourire. J'étais malheureuse, vraiment malheureuse. Et ça fait mal au cul de devoir se l'avouer. J'ai à peine osé croiser le regard des gens qui voulaient simplement être là. Parce que pour une fois, vraiment, j'aurais préférer être dans mon lit. J'aurais préféré rester seule avec mes rêves en boite, plutôt que de me sentir éternellement incomprise sous l'épaisseur de ma carapace.

Alors, plus jamais.

Et je vais espérer encore un peu, que mon sourire revienne, parce que déjà une semaine qu'il est parti s'prendre des vacances cet enfoiré.

8 juin 2007

Et personne ne comprend. Que je cours après une

Et personne ne comprend. Que je cours après une solitude à laquelle j'ai à peine envie de goûter. J'ai une chanson dans la tête, son air entraînant me fait pleurer. J'ai des souvenirs qui traversent mes neurones, et leur beauté en devient presque blessante. Parce que quand tout se casse la gueule et que personne ne s'en rend compte. Que personne ne s'dit que y a un bug et que tout l'monde sourit encore. Que les bisous continuent de voler. Et qu'on oublie presque que les miens sont partis depuis longtemps. Que l'envie n'est plus là, et que j'ai à peine le courage d'y croire encore. Quand j'me dis que si les autres s'envolent, c'est un peu grâce à moi, et qu'à force de vouloir tout donner, j'ai oublié d'en garder un peu. Ça rime plus à rien. Et tout ça c'est que des conneries. Je leur en veux putain, de rire encore de tout. Alors que moi j'suis toujours là, avec mon pantalon qui vole et mes yeux dans l'vague, à écouter leur voix qui vibre et la mienne qui déraille.

7 juin 2007

Je crois que ça va, en surface, même si dans

Je crois que ça va, en surface, même si dans l'fond en fait, nan. Dans une heure j'serais enfin chez mon kiné, et j'pourrais enfin lui raconter toute ma vie, tous mes ptits soucis du moment, il me fera souffrir, encore et toujours, et il m'appellera encore La lesbosh, parce qu'il sait très bien que ça m'fait rire.

C'est quand la fin d'l'année arrive que j'me rends compte que finalement, tous les petits crétins d'ma classe vont affreusement me manquer. Pas pour leur personnalité, mais parce que j'pourrais plus jamais me moquer de leur incroyable stupidité. Et c'est nul. J'ai des cernes jusqu'au milieu des joues, parce que j'arrive pas à choper Monsieur le sommeil réparateur. J'ai envie de recevoir des mails incroyablement long, remplis de bêtises. Parce que voilà. Mais avant, peut être qu'il faudrait que je me décide à répondre à ceux qui en attendent toujours.

Et puis là, moi j'ai juste envie d'aller voir les gens. Parce qu'ils me manquent déjà.

[Y a une fille au lycée, elle m'admire tellement qu'elle s'habille tout pareil que moi. Petasse.]

6 juin 2007

Quand la journée est bien, y a toujours un truc

Quand la journée est bien, y a toujours un truc qui bug dans la soirée. Je leur en veux, pour de vrai je crois. Pour tous les mensonges, depuis ... bien trop longtemps. Je leur en veux de me prendre pour une idiote et de toujours faire semblant de ne rien voir. Ma possessivité me tuera et je l'sais. Mais là j'y peux plus rien. J'ai envie de tout barrer, de tout rayer. D'oublier, même si. Je pensais qu'après tout c'qui c'était passé, je méritais encore un minimum de respect. Mais faut croire que non. Alors j'me barre, pas d'ici, d'ailleurs. Et puis tant pis pour le reste.

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